À propos de notre Clinique
- Bien que nous sommes une clinique privée (indépendante), nos services médicaux sont couverts par la RAMQ.
- Voir la section médecins-psychiatres pour les populations et services distincts de chaque médecin.
- Suite à la référence médicale, il y aura une première consultation et possibilité d’intervention psychiatrique à la clinique ou réorientation vers d’autres services ou poursuite des recommandations avec le médecin référent, selon le dossier.
- La clinique ne peut pas recevoir des cas urgents. Vous devez vous diriger à l’hôpital pour toute situation d’urgence médicale (ou 811 (option 2) si crise psychosociale).
- La clinique n’a pas de locaux ou de personnel disponible et outillé pour accommoder des dossiers de patients pouvant entraîner des désorganisations comportementales ou dangereuses.
- La clinique ne peut pas offrir de services soutenus pour des dossiers complexes nécessitant une prise en charge par une équipe multidisciplinaire ou qui nécessite des hospitalisations récurrentes (soins physiques ou santé mentale).
- Nous n’offrons pas d’évaluation neurocognitive (troubles d’apprentissage ou profil cognitif).
- Nous n’offrons aucune hormonothérapie à la clinique.
- Nous n’offrons pas d’évaluation psychiatrique légale pour les enfants et adolescents.
- Pour les enfants de moins de 14 ans, les parents sont les tuteurs légaux à moins d’autorisation ou jugement par la Cour.
- Nous devons obtenir l’autorisation des tuteurs légaux qui ont les droits de soins de santé pour procéder à l’évaluation psychiatrique.
- Pour les adolescents de 14 ans et plus, nous devons recevoir une confirmation que l’adolescent consent à l’évaluation.
- L’information du dossier médical est confidentielle et il se retrouve dans notre dossier électronique médical sécurisé.
- Pour les enfants de moins de 14 ans, les tuteurs légaux ont accès à leur dossier.
- L’adolescent de 14 ans et plus est responsable d’autoriser le partage de toute information de son dossier médical et autoriser toute communication par le psychiatre envers une tierce personne.
- Une copie de la consultation et des notes médicales sont envoyées aux médecins référents automatiquement, sauf si votre consentement est retiré pour cette démarche.
- Le secret professionnel a cependant ses limites. Le psychiatre peut devoir briser la confidentialité si antécédents d’abus, ou risque de danger imminent envers soi ou autrui, y inclus conduite dangeureuse de véhicule.
- L’évaluation psychiatrique initiale (consultation) peut être d’une durée de 1 heure à 2 heures.
- L’information des proches permet un portrait plus complet de la situation, donc des conclusions et recommandations plus justes. Nous insistons à la présence des parents dans la mesure du possible, même pour l’adolescent âgé de 14 ans et plus. Une période de l’évaluation sera consacrée à la rencontre individuelle et confidentielle.
- L’évaluation se fait dans le bureau du psychiatre, en famille et individuellement, avec plusieurs questions par rapport à plusieurs sphères de la vie, en plus de l’évolution des symptômes de santé mentale.
- L’évaluation se doit d’être dans une atmosphère de respect et calme, en absence de toute forme d’intimidation. Le harcèlement d’un membre du personnel, d’un médecin ou d’un autre client n’est pas toléré à la clinique. Tout comportement jugé agressif ou intimidant qui porte atteinte à la dignité et au respect d’une personne, que ce soit physiquement, verbalement ou par écrit, peut entraîner la fin de notre alliance thérapeutique et l’exclusion de la clinique.
- Suite à la consultation psychiatrique initiale, il peut, selon le dossier, y avoir une offre de suivi à la clinique auprès du médecin-psychiatre pour une période limitée, soit sous forme d’une thérapie individuelle et/ou familiale et/ou de groupe.
- Il peut y avoir des interventions pharmacologiques et/ou signes vitaux et/ou prescription d’un bilan sanguin qui nécessiteraient donc un suivi psychiatrique.
Vous êtes sans doute bombardés par toutes sortes d’information en provenance de plusieurs sources variées par rapport à la santé mentale. Ici à la clinique, nous sommes vigilants à la surmédicalisation et la surmédicamentation. La souffrance n’est pas toujours une maladie à traiter avec la médication mais mérite toujours une validation et une intervention empathique.